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Quasimodo (Original Version) - justindaddy.lrc

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[00:00.000] 作词 : jonas wong
[00:00.149] 作曲 : jonas wong
[00:00.299]Un écho qui danse dans l’air brûlant,
[00:04.583]La pierre frémit, un souffle vibrant.
[00:09.730]Je suis la voix qu’on refuse d’entendre,
[00:12.215]Un cri perdu dans l’écho des cendres.
[00:14.938]Les cloches vibrent, elles portent ma douleur,
[00:17.450]Un souffle muet dans un monde sans couleur.
[00:20.078]Dans l’ombre des tours, mon âme s’égare,
[00:22.661]Un maître des heures, un cœur sans regard.
[00:25.178]Chaque battement est une prière,
[00:27.718]Une plainte sourde dans la lumière.
[00:30.498]Je vois le monde sans pouvoir l’atteindre,
[00:33.126]Un rêve brisé dans le fer à éteindre.
[00:35.702]Les cloches vibrent, elles chantent pour moi,
[00:38.018]Mon souffle résonne, lié à leur voix.
[00:41.141]Je suis la voix qu’on refuse d’entendre,
[00:43.511]Un cri perdu dans l’écho des cendres.
[00:46.148]Les cloches vibrent, elles portent ma douleur,
[00:48.801]Un souffle muet dans un monde sans couleur.
[00:51.475]Je t’ai vue danser sous un ciel en feu,
[00:54.027]Une étoile fragile dans un monde odieux.
[00:56.628]Ton sourire brille, mais il m’éloigne,
[00:59.118]Un rêve cruel que mon cœur accompagne.
[01:01.818]Mes mains de pierre ne toucheront jamais,
[01:04.226]Les douceurs de l’âme que ton corps reflétait.
[01:07.007]Je suis la bête, toi, la lumière,
[01:09.219]Un abîme cruel nous sépare sur cette terre.
[01:12.265]Je suis la voix qui danse dans la pierre,
[01:14.857]Une ombre figée sous la lumière.
[01:17.490]Les cloches hurlent, elles déchirent le temps,
[01:20.031]Un battement sourd, un rêve éclatant.
[01:22.782]Quand tout s’écroule, je reste debout,
[01:24.900]Un géant de silence, un fantôme jaloux.
[01:27.873]Les cloches pleurent, elles hurlent ma fin,
[01:30.216]Un dernier écho pour ce cœur sans matin.
[01:33.885]« Pourquoi moi ?! Pourquoi ce poids ?!
[01:35.764]Vous voyez ma forme, mais pas mon âme !
[01:38.317]Mes cloches hurlent pour un monde sourd.
[01:40.997]J’existe… Mais qui m’entend vraiment ?! »
[01:54.044]Mon cœur s’endort sous le poids des chaînes,
[01:56.557]Un fleuve d’acier dans un océan de peine.
[01:59.264]Les cloches s’élèvent, un dernier combat,
[02:01.835]Je suis le monstre que l’amour trahira.
[02:04.444]Mais dans leur chant, une lumière pâle,
[02:06.947]Une étoile brille malgré le mal.
[02:09.352]Elles murmurent des mots que je n’oublierai :
[02:12.300]« Tu es vivant, et tu le resterais. »
[02:14.880]Je suis la voix qu’on refuse d’entendre,
[02:17.441]Un cri perdu dans l’écho des cendres.
[02:20.114]Les cloches vibrent, elles portent ma douleur,
[02:22.667]Un souffle muet dans un monde sans couleur.
[02:25.348]Je suis la voix qu’on refuse d’entendre,
[02:27.880]Un cri perdu dans l’écho des cendres.
[02:30.528]Les cloches vibrent, elles portent ma douleur,
[02:33.067]Un souffle muet dans un monde sans couleur.
[02:35.908](Un écho qui reste… un souffle qui s’élève…)
[02:40.799]Les cloches se taisent, mais leur chant m’appelle,
[02:43.225]Une flamme fragile, dans la nuit éternelle.
[02:46.285]Et quand tout s’efface, il reste leur voix,
[02:51.046]Une lueur dans l’ombre, qui ne s’éteindra pas.
[02:55.318]Un écho qui reste, je suis l’écho que le monde enterre,
[02:59.876]Un feu vivant sous les pierres amères.
[03:02.008]Les cloches crient, elles brisent le néant,
[03:04.516]Un battement sourd dans un temps mourant.
[03:07.194]« Écoutez-moi… Je ne suis pas qu’un monstre !
[03:09.840]Mon cœur bat ! Mes cloches parlent !
[03:11.955]Même dans l’ombre, même dans la poussière,
[03:14.967]Je suis là… Je suis vivant ! »
[03:21.603]« Écoutez-moi… Je ne suis pas qu’un monstre !
[03:26.212]Mon cœur bat ! Mes cloches parlent !
[03:31.367]Même dans l’ombre, même dans la poussière,
[03:35.532]Je suis là… Je suis vivant ! »
[03:49.918]Je suis la pierre que le temps écrase,
[03:54.872]Un cœur qui bat dans l’immense extase.
[03:59.994]Les cloches hurlent, elles défient le destin,
[04:05.292]Une voix qui brille au-delà des chemins.
文本歌词
作词 : jonas wong
作曲 : jonas wong
Un écho qui danse dans l’air brûlant,
La pierre frémit, un souffle vibrant.
Je suis la voix qu’on refuse d’entendre,
Un cri perdu dans l’écho des cendres.
Les cloches vibrent, elles portent ma douleur,
Un souffle muet dans un monde sans couleur.
Dans l’ombre des tours, mon âme s’égare,
Un maître des heures, un cœur sans regard.
Chaque battement est une prière,
Une plainte sourde dans la lumière.
Je vois le monde sans pouvoir l’atteindre,
Un rêve brisé dans le fer à éteindre.
Les cloches vibrent, elles chantent pour moi,
Mon souffle résonne, lié à leur voix.
Je suis la voix qu’on refuse d’entendre,
Un cri perdu dans l’écho des cendres.
Les cloches vibrent, elles portent ma douleur,
Un souffle muet dans un monde sans couleur.
Je t’ai vue danser sous un ciel en feu,
Une étoile fragile dans un monde odieux.
Ton sourire brille, mais il m’éloigne,
Un rêve cruel que mon cœur accompagne.
Mes mains de pierre ne toucheront jamais,
Les douceurs de l’âme que ton corps reflétait.
Je suis la bête, toi, la lumière,
Un abîme cruel nous sépare sur cette terre.
Je suis la voix qui danse dans la pierre,
Une ombre figée sous la lumière.
Les cloches hurlent, elles déchirent le temps,
Un battement sourd, un rêve éclatant.
Quand tout s’écroule, je reste debout,
Un géant de silence, un fantôme jaloux.
Les cloches pleurent, elles hurlent ma fin,
Un dernier écho pour ce cœur sans matin.
« Pourquoi moi ?! Pourquoi ce poids ?!
Vous voyez ma forme, mais pas mon âme !
Mes cloches hurlent pour un monde sourd.
J’existe… Mais qui m’entend vraiment ?! »
Mon cœur s’endort sous le poids des chaînes,
Un fleuve d’acier dans un océan de peine.
Les cloches s’élèvent, un dernier combat,
Je suis le monstre que l’amour trahira.
Mais dans leur chant, une lumière pâle,
Une étoile brille malgré le mal.
Elles murmurent des mots que je n’oublierai :
« Tu es vivant, et tu le resterais. »
Je suis la voix qu’on refuse d’entendre,
Un cri perdu dans l’écho des cendres.
Les cloches vibrent, elles portent ma douleur,
Un souffle muet dans un monde sans couleur.
Je suis la voix qu’on refuse d’entendre,
Un cri perdu dans l’écho des cendres.
Les cloches vibrent, elles portent ma douleur,
Un souffle muet dans un monde sans couleur.
(Un écho qui reste… un souffle qui s’élève…)
Les cloches se taisent, mais leur chant m’appelle,
Une flamme fragile, dans la nuit éternelle.
Et quand tout s’efface, il reste leur voix,
Une lueur dans l’ombre, qui ne s’éteindra pas.
Un écho qui reste, je suis l’écho que le monde enterre,
Un feu vivant sous les pierres amères.
Les cloches crient, elles brisent le néant,
Un battement sourd dans un temps mourant.
« Écoutez-moi… Je ne suis pas qu’un monstre !
Mon cœur bat ! Mes cloches parlent !
Même dans l’ombre, même dans la poussière,
Je suis là… Je suis vivant ! »
« Écoutez-moi… Je ne suis pas qu’un monstre !
Mon cœur bat ! Mes cloches parlent !
Même dans l’ombre, même dans la poussière,
Je suis là… Je suis vivant ! »
Je suis la pierre que le temps écrase,
Un cœur qui bat dans l’immense extase.
Les cloches hurlent, elles défient le destin,
Une voix qui brille au-delà des chemins.