[00:00.000] 作词 : Gérard Duguet-Grasser[00:00.610] 作曲 : Julien Clerc[00:01.220] Des souliers noirs, une jupe en laine[00:05.270] Je ne dors plus tu sais , je veille[00:10.270] Sur son sommeil[00:14.070] Et tout ce qui la blesse me tue[00:18.600] Je ne vis plus, tu sais je brûle[00:22.980] Et tout ce qui la blesse me tue[00:27.950] Jalouse et belle[00:31.980] Tu sais , je veille sur son sommeil[00:36.970] Elle se penche, elle se balance[00:40.930] Vous voyez bien que rien ne manque[00:44.140] Ni les silences, ni les serments[00:46.090] Ni les rubans fidèles et bleus[00:48.380] Ni les querelles des amoureux[00:56.440] Des souliers noirs, une jupe en laine[01:00.720] Je ne dors plus tu sais , je veille[01:05.570] Sur son sommeil[01:09.680] Et tout ce qui la blesse me tue[01:14.690] Quand vient le soir[01:17.170] N'allez pas croire[01:18.610] Qu'on fera l'amour dans le noir[01:21.760] Et dans la chambre elle rit, elle ment[01:26.310] Et moi je meurs d'amour pour elle[01:29.990] Les autres fois je pense à elle[01:36.020] Comme au Bon Dieu sans trop y croire[01:39.700] Le fol espoir de l'amour fou[01:43.730] Elle danse, elle chante[01:45.940] Et quand elle sort[01:47.870] J'attends j'attends, je prie surement[01:52.090] Des souliers noirs, une jupe en laine[01:56.270] Je ne dors plus tu sais , je veille[02:01.330] Sur son sommeil[02:05.290] Et tout se qui la blesse me tue[02:10.340] Elle se penche, elle se balance[02:14.370] Vous voyez bien que rien ne manque[02:17.140] Elle change sa robe et l'eau des fleurs[02:19.330] Et moi je meurs d'amour pour elle[02:26.210] Les autres fois je pense à elle[02:31.660] Comme au Bon Dieu sans trop y croire[02:43.300] Les autres fois je pense à elle[02:49.560] Comme au Bon Dieu sans trop y croire[02:52.750] Le fol espoir de l'amour fou[02:57.130] Elle danse, elle rit[02:59.260] Et quand elle sort[03:01.030] J'attends j'attends, je prie surement[03:05.400] Les souliers noirs, une jupe en laine[03:09.670] Je ne dors plus tu sais , je veille[03:14.750] Sur son sommeil[03:18.700] Et tout ce qui la blesse me tue